Une question se posera alors, quel est le niveau de détail souhaité que l’on doit avoir dans la, les maquettes 3D. Ça dépendra du niveau de risque financier que l’on désire gérer. Inclure les entrepreneurs spécialisés lors de l’étude de faisabilité, en utilisant un niveau de détail assez élevé (LOD350 ou LOD400), permettra de réduire les surcoûts au moment de la construction.

Les maquettes numériques (3D) seront réalisées lors de l’étude de faisabilité à partir de la stratégie de réalisation, elles évolueront tout au long de la phase de construction. Les maquettes (4D) pour l’échéancier et les maquettes (5D) pour les coûts permettront d’avoir une meilleure idée l’envergure et de la faisabilité du projet. Parmi les meilleures pratiques de l’industrie, l’utilisation du processus[1] ISO-9001 permet d’encadrer le management de la qualité pour les projets de construction.

Finalement, l’analyse du besoin à combler avec la méthode du 6W [2] (Who, When, How, Why, where, what) s’applique bien à l’ensemble de la méthodologie BIM et ce dès le départ du projet.

L’utilisation des normes ISO-19650 en combinaison avec ISO-9001 assure que le projet sera bien structuré au niveau de l’information, de la gestion de projet, de la qualité des livrables et de la coordination des équipes de projets. L’utilisation d’un environnement de données centralisé EDC s’avère primordial dans ce contexte.

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[1]https://www.iso.org/fr/standard/62085.html#:~:text=La%20norme%20ISO%209001%20spécifie,de%20management%20de%20la%20qualité.

[2] https://www.isixsigma.com/dictionary/6w/